dimanche, juillet 31, 2011

Millénium, tome 2 : La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette de Stieg Larsson


4ème de couverture:
Tandis que Lisbeth Salander coule des journées supposées tranquilles aux Caraïbes, Mikael Blomkvist, réhabilité, victorieux, est prêt à lancer un numéro spécial de Millénium sur un thème brûlant pour des gens haut placés : une sombre histoire de prostituées exportées des pays de l'Est. Mikael aimerait surtout revoir Lisbeth. Il la retrouve sur son chemin, mais pas vraiment comme prévu : un soir, dans une rue de Stockholm, il la voit échapper de peu à une agression manifestement très planifiée. Enquêter sur des sujets qui fâchent mafieux et politiciens n'est pas ce qu'on souhaite à de jeunes journalistes amoureux de la vie. Deux meurtres se succèdent, les victimes enquêtaient pour Millénium.
Pire que tout, la police et les médias vont bientôt traquer Lisbeth, coupable toute désignée et qu'on a vite fait de qualifier de tueuse en série au passé psychologique lourdement chargé. Mais qui était cette gamine attachée sur un lit, exposée aux caprices d'un maniaque et qui survivait en rêvant d'un bidon d'essence et d'une allumette ? S'agissait-il d'une des filles des pays de l'Est, y a-t-il une hypothèse plus compliquée encore ?
C'est dans cet univers à cent à l'heure que nous embarque Stieg Larsson qui signe avec ce deuxième volume de la trilogie Millénium un thriller au rythme affolant.

Un an que j'avais lu le tome 1 de la saga best-seller Millénium: il était temps que je lise la suite !
Pendant que Lisbeth parcourt le monde, Mikaël travaille sur un numéro spécial de Millénium à propos du commerce du sexe. Les deux personnes enquêtant sur ce sujet sont assassinés et Lisbeth se retrouve mystérieusement impliqué...

Quel plaisir de retrouver Lisbeth et Mikaël ! Enfin , surtout Lisbeth car que serait Millénium sans son personnage phare ? Ce petit-bout de femme à l’apparence fragile et frêle, complétement asociale et renfermée mais doté d'une intelligence rare. Surdouée en informatique, elle peut surveiller à distance ceux qui veulent lui nuire. Il ne faut pas se fier à sa petite taille et à sa maigreur car face à deux hommes adultes elle n'est pas sans défense.
Ses fans vont se réjouir car elle est au centre de l'intrigue de ce deuxième opus où Mikaël reste plus en arrière plan. Nous découvrons son passé difficile, sa famille avec de nombreuses révélations surprenantes jusqu'au derniers chapitres. Malgré son regard glacial et son absence manifeste d'émotions, on s’attache facilement à elle. Chaque détail de son existence nous est livré au compte-goutte. C'est un personnage singulier et fascinant à l'origine du succès de Millénium.

Tous l'a croit folle mais heureusement,elle peut compter sur le soutient de Super Blomkvist. Quoique l'attention que peuvent lui porter les autres ne lui fasse ni chaud ni froid et son anonymat lui soit très précieux. Mikaël toujours aussi tenace, enquête sur le meurtre de ses amis. Mais il n'est pas le seul, outre la police, Milton Security, l'ancien employeur de Lisbeth mène également l'enquête.

On rentre plus facilement dans l'histoire que pour le premier tome même si les meurtres n'arrivent pas tout de suite. En effet, cette fois-ci pas de blabla incompréhensible sur l'économie suédoise juste quelques concepts mathématiques. Je ne suis pas une fan des maths mais les réflexions de Lisbeth sur le théorème de Fermat m'ont donné envie d'en savoir plus.
Avant que l'intrigue se mette en place réellement, nous suivons les vacances de Lisbeth qui ne peut s’empêcher d'observer et de punir ce qui lui semble contraire à sa morale.
L'action est moins présente que dans le premier tome et le rythme moins haletant mais l'intrigue n'en est pas moins captivante. Le suspens nous tient en haleine du début à la fin . Les pièces du puzzle s’assemblent petit à petit et on essaye de deviner qui est le meurtrier.

Le style de Stieg Larsson est très agréable. Passages narratifs et dialogues s'alternent et ne laissent aucune place à l'ennui. Les descriptions sont parfaitement dosés. Son écriture nous captive de la première à la dernière ligne. Seul défaut: La fin m'a semblé un peu trop rapide.
Il me tarde de lire la suite !

dimanche, juillet 24, 2011

Pouvoirs Obscurs, tome 3 : La révélation de Kelley Armstrong

4ème de couverture:
Les quatre adolescents en fuite ont enfin trouvé un refuge provisoire, mais peuvent-ils faire confiance à ceux qui disent vouloir les aider? Après tant d'épreuves et de trahisons, Chloé doit faire face à ses responsabilités et apprendre à maîtriser ses pouvoirs... et ses émotions.
Son cœur de nécromancienne balance entre magie et loup-garou, mais ce n'est pas le moment de se laisser distraire: la survie passe avant tout. Cette fuite effrénée cessera-t-elle un jour ?
/!\Spoilers des précédents tomes/!\

Et voici le dernier tome de la trilogie Pouvoirs Obscurs de Kelley Armstrong: il était temps que ça se termine car ce troisième tome est franchement décevant...

Nos quatre héros ont réussi à s'échapper de l'emprise du groupe Edison et ont trouvé refuge chez Andrew, un ami du père de Simon. Malgré tout, ils restent méfiants, après tant de mensonges, comment croire sur parole un adulte ?

J'ai vraiment eu du mal à me remettre dans l'histoire, il serait agréable d'avoir un résumé des événements précédents pour se les remettre en mémoire. Les premiers chapitres ne m'ont pas captivés et la suite n'a pas accru mon intérêt.
L'action n'apparait qu'en fin de roman, autant dire que l'on s'ennuie pas mal... Les quatre adolescents sont caractérisés par leur passivité: ils sont coincés chez Andrew à attendre que les adultes prennent des décisions et pendant ce temps leurs amis restent en danger.
Ce troisième tome se focalise plus sur la psychologie des personnages et en particulier sur Chloé.
Elle m'a plutôt énervée, elle ne sait pas ce qu'elle veut et a perdu la maturité qu'elle avait gagné dans le précédent tome.
L’intrigue quant au groupe Edison et les modifications génétiques passe en second plan et c'est la romance qui prend le dessus. Un rapprochement qui se veut inattendu- mais que l'on sent arriver dès le tome deux-se met en place.

Simon est quasiment absent de ce dernier tome, c'était déjà le cas dans le précédent tome malgré son importance au début de la saga. Derek, lui au contraire prend dans l'ampleur et devient un personnage très intéressant. Sa nature de loup-garou y joue évidemment beaucoup mais sa force de caractère et son côté mystérieux et bourru ne le rende que plus intrigant.
Tori et Liz ajoute une note d'humour. Les répliques de Tori en particulier, nous font beaucoup rire. Elle est plus mature que ses camarades et sait utiliser les sarcasmes autant que ses pouvoirs de jeteuse de sort. Chloé parait bien pathétique au côté de son amie.

Dans la dernière partie du livre, il se passe enfin quelque chose... Malheureusement les événements s'enchainent confusément et le dénouement est un peu tiré par les cheveux.
Je suis peut-être trop vieille pour ce genre de livre mais l'idée des adultes comploteurs m'a plutôt exaspérés, c'est tellement cliché....
Quant aux pouvoirs des quatre jeunes, seul la transformation de Derek est intéressante et bien mené- l'auteur a en effet de l'expérience quant aux histoires de loup-garou avec sa série pour adulte. La faculté de Chloé m'a plutôt fait penser à un mauvais film d'horreur dans lequel les effets spéciaux sont tellement mauvais que l'on en ri... Pour moi, ce tome manque vraiment de crédibilité.

Mes critiques des précédents tomes étaient positives, celle-ci est tout le contraire. Peut-etre que ce n'était ni le moment, ni le livre dont j'avais besoin de lire, je ne sais pas mais j'ai du vraiment m'accrocher pour le finir et ne pas abandonner. Les personnages m'ont paru trop immatures, l'action trop absente et l'intrigue sans crédibilité.

dimanche, juillet 17, 2011

Métaphysique des tubes de Amélie Nothomb

4ème de couverture:
"Ensuite, il ne s'est plus rien passé. "
N'ayant pas beaucoup de temps pour lire, je privilégie les lectures courtes et rapides, rien de mieux qu'un Nothomb !
Métaphysique des tubes est un roman autobiographique où Amélie nous dévoile son existence de 0 à 4ans. Puisque dans ce laps de temps nos activités se résument à la déglutition, à la digestion et à l'excrétion, elle nous qualifie de tube. Ce roman se déroule au Japon, il rejoint Biographie de la faim et Le sabotage amoureux qui se déroule ultérieurement en Chine.

A travers ce livre, elle explore la psychologie infantile. Elle nous conte sa découverte du monde et plus particulièrement du plaisir. Elle se rappelle parfaitement son état d'esprit à ce moment et ses délires métaphysiques. Malgré que ses agissements et ses pensées peuvent paraitre étranges, cela fait écho en nous et ils nous rappellent notre propre enfance même si nos souvenirs de cette époque sont plutôt pauvres voir inexistants. On repense avec nostalgie à nos premières années et c'est avec talent que Amélie nous les fait revivre. Elle nous fait également beaucoup réfléchir sur différents sujets en particulier sur la vie et la mort et bien sur l'enfance.

Nous sommes frappés par son arrogance: elle se prend pour Dieu, ceux qui l'entourent doivent presque se prosterner devant elle et pour son plus grand plaisir sa gouvernante Nishio-San lui voue un véritable culte.
Amélie fait preuve de beaucoup d'auto-dérision dans ce roman. Elle se moque d'elle-même et fait de nombreux sarcasmes qui nous font à tous les coups sourire.
Certaines anecdotes sont vraiment à mourir de rire, je pense en particulier à ses trois carpes alias la trinité car prénommés Jésus, Marie et Joseph.

Il n'y a pas d'intrigue, c'est plutôt l’évocation des souvenirs de l'auteure. Comme elle le dit elle-même dans le roman, c'est aussi pour garder une trace , des souvenirs précieux de ces premières années. Puisque ce livre parle de la même personne, il ressemble beaucoup à Biographie de la faim et Le sabotage amoureux. On a parfois l'impression qu'elle se répète mais c'est plutôt agréable de lire sa biographie par petit épisode et de rassembler les pièces du puzzle plutôt que de lire un gros volume. Celui-ci est particulièrement court et se lit en seulement quelques heures. Amélie joue avec les mots, utilise de nombreuses figures de style et s'en amuse. Pour le lecteur également ses jeux de mots sont jubilatoires. Elle manie audacieusement le vocabulaire familier tout comme le soutenu. Ce n'est pas mon Nothomb préféré mais il est très agréable à lire et l'humour est omniprésent.

mercredi, juillet 13, 2011

Georgina Kincaid, tome 1 : Succubus Blues de Richelle Mead

4ème de couverture:
Libraire le jour, succube la nuit.
C’est la vie de Georgina Kincaid, un démon dans un corps de femme. A priori, un destin plutôt sympa : la jeunesse éternelle, la séduction absolue… mais impossible de décrocher un rencard sans mettre en péril l’âme de l’heureux élu. Heureusement que son travail de libraire la passionne…
Et son activité nocturne la tient bien occupée aussi : quelqu’un s’est mis à jouer les justiciers parmi les anges et les démons, et Georgina est jetée au cœur de la tourmente. Ses sortilèges sexy et sa langue bien pendue lui permettront-ils de s’en sortir ?
Tout d'abord merci à Livraddict et aux éditions Milady pour ce partenariat. Je suis ravie que cette série existe enfin en poche et que la couverture du grand format a été conservée car elle me plait beaucoup. Richelle Mead est surtout connue pour sa série young adult Vampire Academy qui est une de mes préférées. Dans cette présente série, les vampires sont toujours présents mais ils restent en arrière plan faisant partie de la communauté des surnaturelles.
C'est Georgina Kincaid, libraire qui est au centre de l'intrigue. Mais son métier est en réalité une couverture pour vivre parmi les humains, car elle a vendu son âme il y a des siècles pour devenir une succube. Elle séduit les hommes afin de leur extraire l'énergie qu'il lui permettra de survivre et de changer d'apparence à volonté.

Qui dit succube dit sexe. J'avoue que je ne savais pas trop ce qu'était une succube avant d'avoir lu ce livre. Les scènes de sexe sont donc plutôt nombreuses mais par rapport aux nombres de pages (510) et pour une histoire basée sur une succube,ce n'est pas si énorme. Par contre, elles sont très explicites... Georgina a un physique de rêve, rien de plus normale vu sa nature. Elle peut également se transformer,blonde, brune ,rousse tout dépend des gouts du client.... mais n'est ni superficielle ni stupide. Elle a un sens de la repartie à tout épreuve et un humour qui fait mouche à chaque fois. Heureusement que ses conversations sont intéressantes et drôles sinon on s’ennuierait beaucoup.

En effet, à part quelques meurtres et agressions par ci, par là ils ne se passent pas grand chose. Notre héroïne décide de mener l'enquête malgré les réprobations de ses supérieurs mais ses investigations n'avancent pas rapidement. Les événements sont amenés trop vites à mon goût. A peine les personnages introduits, un disparait, assassiné. On n'a pas le temps de s'habituer à ce personnage et de comprendre son rôle dans la communauté des surnaturelles. De ce fait, on ne trouve pas sa disparition louche -au fond les créatures fantastiques s'entretuent par nature, surtout dans cette histoire où le bien et le mal s'affrontent- et on se demande pourquoi l'héroïne imagine si vite un complot.

Le style de Richelle Mead est très agréable. C'est à la fois captivant et divertissant. L'humour est omniprésent avec une héroïne qui sait se moquer d'elle même et rendre l'atmosphère plus légère. Malgré qu'il y est peu d'action,on ne s'ennuie pas et malgré ces 500 pages ce livre se lit très vite. Ce sont les relations amoureuses de la succube qui sont au centre de ce roman laissant l'intrigue policière en arrière plan. Je ne sais pas si je lirai la suite, c'est divertissant mais il manque un petit quelque chose pour donner envie de continuer la saga, une vrai intrigue à laquelle s'accrocher et des personnages masculins moins nombreux mais à la personnalité plus affirmée. En effet, Georgina est entouré de beaucoup d'hommes, humains, anges, démons et vampires mais aucun ne se démarquent des autres. A tel point que l'on a du mal à les différencier et à se rappeler lequel est son ami, lequel est son collègue, son patron, son amant... Seul Seth se distingue de ses homologues par sa timidité, on peut espérer que son personnage sera développer dans les prochains tomes.

Pour conclure, c'est une lecture divertissante sans prise de tête et avec un style captivant. On apprécie l'héroïne pour son humour et son franc parler cependant elle efface les hommes qui l'entourent qui paraissent bien fade à ses côtés. Les rebondissements sont peu présents et restent en arrière plan au profil de l'intrigue amoureuse et des scènes de sexe trop explicites.

vendredi, juillet 08, 2011

Vampire Academy, tome 4 : Promesse de sang de Richelle Mead


4ème de couverture:
Comment trouver le courage de tuer celui qu'on aime?

Le monde de Rose a basculé lors de la dernière attaque meurtrière contre l'académie: Dimitri s'est fait enlever par les Strigoï. Or Rose lui a juré qu'elle le tuerait plutôt que de le laisser devenir l'un de ces êtres cruels et sanguinaires.
Elle va devoir abandonner sa meilleure amie Lissa et partir à la recherche de Dimitri pour honorer sa promesse.

/!\Spoilers des précédents tomes /!\

J'attendais la suite du Baiser de l'ombre avec impatience mais ayant eu d'autres livres à lire en priorité je n'ai pas pu le lire dès sa parution. Le tome 3 s'achevait sur un suspens insoutenable c'est donc avec plaisir et avidité que j'ai entamé ce quatrième tome tant attendu.

Nous avions quittés Saint-Vladimir peu après une attaque sanglante de Strigoï . La liste des morts aurait pu s'allonger sans l'intervention de Rose et Dimitri, malheureusement ce dernier n'a pas survécu... Il est devenu un Strigoï. Dans ce tome, Rose part donc à sa recherche, elle lui a en effet promit de le tuer plutôt que de le laisser dans cet état intermédiaire entre la vie et la mort.

Grâce au prologue, les événements précédents nous reviennent facilement en mémoire: la mythologie créé par Richelle Mead, le lien particulier qui unit Lissa et Rose, la romance entre cette dernière et son professeur et le destin tragique de cette relation.
Avec le premier chapitre, on rentre dans le vif du sujet mais on se retrouve complétement perdu ! En effet, Rose n'est ni à Saint-Vladimir, ni à la cour royal même pas au États-Unis mais en Russie ! Il faut un peu de temps pour s'habituer à cette nouvelle ambiance, on regrette la petite routine du lycée, le contact avec les autres élèves. Car Rose est seule. Son désespoir renforce sa solitude et pour ne rien arranger elle ne sait où chercher son bien aimé.
Ce début est particulièrement lent, les rebondissements se font attendre et l'héroïne ressasse sans arrêt ses souvenirs douloureux avec Dimitri. Les différentes péripéties des tomes précédents nous sont rappelés maintes fois ce qui finit par agacer.

Heureusement, Rose n'est pas complétement coupé de l'academie: elle peut en effet pénétrer l'esprit de Lissa et ainsi prendre de ses nouvelles et la surveiller. Cependant, il ne se passe pas non plus grand chose d'intéressant de son côté, quelques nouveaux personnages mais à priori rien de plus....
Rose m'a moins plus que dans les tomes précédents, elle a perdu de sa détermination et de son côté rebelle, ce qui est normal vu les circonstances... Lissa quant à elle a un comportement anormale... Les autres personnages sont beaucoup moins présents, Adrian fait quelques apparitions remarquables, son cynisme est toujours au rendez-vous et nous fait sourire.
La première partie du roman se focalise essentiellement sur Rose et son chagrin ainsi que sur sa quête. De nombreuses longueurs et surtout des répétitions alourdissent le récit.

La deuxième moitié est plus riche en rebondissements. Au moment où ne s'y attend plus, la vie de Rose bascule. Différentes émotions nous traversent du soulagement à la frustration et de la joie à la tristesse. Quand on croit que tout est fini, un nouvel événement change le cours de l'action et ce jusqu'à la dernière page qui nous révèle bien des surprises.

Ce tome n'est pas mon préféré, l'action tarde à arriver et les émotions sont moins intenses que dans le Baiser de l'ombre qui est mon favoris pour le moment ( il reste encore deux tomes :D).
Le dénouement du tome 3 annonçait une suite explosive donc je suis un peu déçue. Néanmoins la dernière partie du roman rattrape le reste. Les rebondissement se bousculent et on va de surprises en surprises. Les différents pouvoirs des protagonistes sont bien exploités en particulier l'esprit qui révèle encore quelques uns de ses secrets. Cela génère des situations complexes et intéressantes auxquelles on ne peut s'attendre. On rencontre également des Alchimistes dotaient d'étranges pouvoirs ainsi que des vampires mafieux...
Une fois refermé, l'univers de Richelle Mead me manque déjà. Son style est toujours aussi agréable et captivant bien que ce tome soit moins addictif que les précédents. Elle n'hésite pas à sacrifier ses personnages principaux et à prendre des risques ce qui démontre son talent. J'ai quand même un peu peur pour la suite à cause du rebondissement final...
Il faudra attendre septembre pour "Spirit Bound".

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