mercredi, mai 11, 2011

Mes ailes brûlées de Douchka Esposito

4ème de couverture:
Voix magnifique et physique d'une attachante beauté, Douchka Esposito était promise à une grande carrière artistique.
Nommée ambassadrice de la firme Walt Disney Company à l'âge de 19 ans, elle enregistre sous la houlette du célèbre producteur "Mémé" Ibach des dizaines de disques devenus des succès irrésistibles. Elle devient alors une héroïne et une grande soeur pour des millions d'enfants et rencontre de nombreuses personnalités...
La vie va lui réserver un destin peu ordinaire...
J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération Masse critique de Babélio que je remercie.
C'est d'abord le mot "Disney" qui a attiré mon attention et m'a fait coché ce livre. Le nom de Douchka me disait vaguement quelque chose et s'en apprenant que j'avais été sélectionné que je me suis rendue comte qu'il s'agit d'une autobiographie. Ce n'est pas mon genre littéraire favoris mais de temps en temps pourquoi pas.

Avant de commencer ce livre,je ne savais absolument rien de Douchka, peut-être ai-je entendu une de ses chansons pendant mon enfance mais c'est tout.
Dans ce livre,elle retrace son parcours mais évoque également son enfance et nous présente ses parents. Tout deux faisaient partie du milieu artistique. Sa mère est en effet l'actrice Pascale Petit et son père le poète et chanteur Giani Esposito. Autant dire que son enfance fut particulière.

C'est une autobiographie et non pas de la grande littérature,on le ressent donc dans le style. Il est simple,souvent semblable au langage parlé mais cela contribue à nous rapprocher de l'auteure.Parfois on a l'impression d'être à sa place et de revivre tous les événements évoqués.
Elle parle aux lecteurs comme à des amis à qui elle livre ses secrets.
Les anecdotes quant au milieu artistique sont intéressantes et parfois amusantes.
L'auteure insiste sur le revers de la médaille, la dépression, les dettes, la drogue et tous les obstacles qu'elle a du affronter. Son histoire n'est pas si différente de celle d'autres célébrités ayant connu une traversé du désert et s'ajoute aux autres témoignages.
La vie de Douchka est évidemment très différente de la mienne, son livre m'a donc fait réfléchir.

Les pages défilent très vite,la lecture se fait relativement facilement. Plutôt agréable mais la familiarité du ton est parfois énervant. La personnalité de Douchka ressort clairement au travers des lignes.
En plus d'autobiographie, quelques photos illustrent la vie de Douchka, photoshoot , clichés personnelles et pochettes de disques. On retrouve à la fin de livre les paroles de son album Bojidarka.

C'est une lecture plutôt agréable qui plaira surement plus aux fans de Douchka qu'à quelqu'un qui la connait à peine comme moi. Néanmoins son histoire fait réfléchir quant au milieu artistique.

9 commentaires:

  1. Bonjour,
    Suite à la parution du livre biographique de Douchka et des informations sulfureuses qu'il contient, de nombreuses propositions de galas ont été annulées. L'image véhiculée par cet ouvrage, reflète la véritable vie de Douchka, incompatible avec l'idée qu'on peut se faire d'une artiste pour jeune public.
    Je crois savoir également que les propos qu'elle tient dans ce livre révèlent son appartenance, ou dévotion, à une secte dirigée par Mikhael Aivanhov (en photo dans son livre), secte classée dangereuse par le Ministère de l'Intérieur. je crains les pires complications pour elle, y compris dans ses relations déjà dégradées avec Walt Disney.
    Suite à mes informations voici les liens où vous pourrez trouver la preuve de mes propos:
    - http://www.fbu.org/
    - http://www.info-sectes.ch/temoignages-divers.htm
    - http://www.assemblee-nationale.fr/rap-enq/r2468.asp
    Quand j'ai vu la photo de Mikhael Aivanhov dans son livre, et lu toutes ses allusions à "l'Enseignement", j'ai fait des recherches, voici les résultats. Témoignage de Douchka en date de Août 2010.
    - http://www.mikhaelaivanhov.org/index.php/fr/textes-et-temoignages/118-temoignage-de-bojidarka-esposito-aout-2010-communication-personnelle
    Je vous informe que j'ai reçu ce vendredi Midi un appel du service juridique de la Walt Disney Company. Ils m'informent que la chanteuse DOUCHKA est en infraction sur plusieurs points et qu'ils se préparent à engager des procédures contre elle. Etant honnête et intègre je ne tolère pas qu'une artiste pour enfants fasse l'apologie d'une secte classée dangereuse. j'espère que vous pardonnerez mon intolérance. Ils m'ont informé également que cette artiste a commis plusieurs infractions en utilisant sans permission des personnages de WalT Disney, si j'ai bien compris, ils ne veulent pas que DOUCHKA soit associée à Walt Disney sous quelque forme que ce soit. J'imagine que ses reportages nue et ses confessions sulfureuses y sont pour quelque chose.
    je vous informe également qu'elle fraude les organismes sociaux et le fisc depuis de nombreuses années, en percevant des sommes considérables de son ancien mari (pension alimentaire jamais déclarée) et de ses amants. Aujourd'hui elle touche le RSA mais vit comme une princesse. Je suis intolérant avec les sectes dangereuses et les pratiques que celles-ci appliquent ou incitent à appliquer.

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  2. Bonjour,
    merci pour votre commentaire des plus intéressant,dommage que je ne sais pas à qui je m'adresse !
    Oui Douchka dit bien suivre l'enseignement de Mikhael Aivanhov. Je ne savais pas que c'était une secte dangereuse mais cela m'a dérangé...
    Avant de lire ce livre,je ne savais presque rien sur sa vie: je n'étais pas née lorsqu'elle représenté Disney.

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  3. Bonjour,
    J'ai appris de source sure que ce livre n'a pas été rédigé par Douchka, mais par un nègre qui se prénomme François FORESTIER.
    Il a été engagé par les Editions du Rocher, et à rencontré à plusieurs reprises DOUCHKA à Marseille et à Perpignan.

    Voici un article interressant:
    http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20110117.OBS6394/moi-negre.html

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  4. Il faut que Douchka arrête de se faire passer dpuis des années pour une victime et de prendre les gens pour des imbéciles avec ce livre qui ne reflète pas du tout la réalité.En 1981, Mémé Ibach (producteur de Karen Chéryl)signe un contrat d'exclusivité de 10 ans à une jeune chanteuse lyonnaise de 16 ans , qu'il avait auditionné et engagée immédiatement pour chanter pour les enfants.Douchka et sa mère ont demandé à cette jeune fille de leur chanter une chanson, cette jeune chanteuse n'avait pas encore terminé sa chanson que Douchka s'est écriée "maman, je veux faire comme elle, je veux chanter comme elle!" Douchka et sa mère ont profité de la crédulité et de la naïveté de cette jene artiste qui croyait tant en son métier et qu'on a voulu mettre sous l'éteignoir, pour éviter que cela nuise aux propres intérêts de Douchka, qui en fait s’est tout simplement appropriée une place, qui ne lui convenait pas et surtout ne lui appartenait pas.

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  5. LETTRE OUVERTE À BOJIDARKA ESPOSITO DITE « DOUCHKA »
    ---
    DROIT DE REPONSE A L’USURPATRICE


    Si DOUCHKA m’était contée… ce serait l’histoire d’une imposture honteuse.

    J’ai été purement et simplement évincée, sans explication, d’un contrat, signé voici 30 ans avec la Société DISQUES IBACH, pour une durée de 10 ans et portant sur des chansons pour enfants, la Walt Disney Cie ayant donné son approbation.

    Il se trouve que mon producteur, Mémé Ibach, était le « beau-père » de Douchka, compagnon de longue date de sa mère. Les pressions alors exercées par la mère de Douchka auprès de son amant pour mettre sa fille à ma place ont eu raison de mon contrat -Douchka a fini par prendre ma place- et de toute ma vie artistique, brisée en éclats alors qu’elle s’annonçait brillante.

    La parution, en Avril 2011 du « livre » de Douchka, qui me cite nominalement et sans autorisation, a ravivé la douleur dont j’ai mis des décennies à me débarrasser. Outre que cet ouvrage est truffé d’inexactitudes, pour ne pas dire plus, il me semble que les plaintes, doléances et les malheurs de cette pauvre dame, une « usurpatrice » caractérisée, ne sont que la conséquence d’une suite ininterrompue d’erreurs et d’échecs de sa part.

    Cette manipulation honteuse m’a causé un préjudice moral irréparable, j’avais à peine 16 ans. Ma vie artistique commençait ainsi par une blessure inguérissable : déception, désillusion, amertume, sentiment de trahison, c’est lourd pour la jeune fille que j’étais, pleine de rêves et d’espoirs dans ce contrat. C’est Mémé Ibach qui est venu me chercher à Lyon pour me proposer ce contrat. Mes parents et moi avons été terrassés par ce revirement sans raison valable.


    Vous comprendrez de ce fait que je m’inscrive en faux contre les allégations pleureuses et mensongères d’une « chanteuse » au talent plus que douteux (la suite l’a confirmé). Douchka se positionne en victime (car cela fait vendre) mais elle a pris une place qui ne lui revenait pas et qu’elle n’a pas méritée. Sa descente aux enfers et sa déchéance artistique, dont son « livre » est le triste et navrant récit, montrent qu’elle n’a même pas su profiter, par ses mauvais choix et mauvaises décisions, de la chance insolente qu’elle a eue. Je n’ai pas l’intention de laisser passer cette offense supplémentaire et j’aimerais que l’on puisse m’entendre, à mon tour, de façon contradictoire, comme témoin « privilégié ».
    Françoise Gabrielle GAUME/gab57@free.fr

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  6. DOUCHKA USURPATRICE

    LETTRE OUVERTE ET DROIT DE REPONSE À BOJIDARKA ESPOSITO DITE « DOUCHKA »

    Si DOUCHKA m’était contée… ce serait l’histoire d’une imposture honteuse.

    J’ai été purement et simplement évincée, sans explication, d’un contrat, signé voici 30 ans avec la Société DISQUES IBACH, pour une durée de 10 ans et portant sur des chansons pour enfants, la Walt Disney Cie ayant donné son approbation.

    Il se trouve que mon producteur, Mémé Ibach, était le « beau-père » de Douchka, compagnon de longue date de sa mère. Les pressions alors exercées par la mère de Douchka auprès de son amant pour mettre sa fille à ma place ont eu raison de mon contrat -Douchka a fini par prendre ma place- et de toute ma vie artistique, brisée en éclats alors qu’elle s’annonçait brillante.

    La parution, en Avril 2011 du « livre » de Douchka, qui me cite nominalement et sans autorisation, a ravivé la douleur dont j’ai mis des décennies à me débarrasser. Outre que cet ouvrage est truffé d’inexactitudes, pour ne pas dire plus, il me semble que les plaintes, doléances et les malheurs de cette pauvre dame, une « usurpatrice » caractérisée, ne sont que la conséquence d’une suite ininterrompue d’erreurs et d’échecs de sa part.

    Cette manipulation honteuse m’a causé un préjudice moral irréparable, j’avais à peine 16 ans. Ma vie artistique commençait ainsi par une blessure inguérissable : déception, désillusion, amertume, sentiment de trahison, c’est lourd pour la jeune fille que j’étais, pleine de rêves et d’espoirs dans ce contrat. C’est Mémé Ibach qui est venu me chercher à Lyon pour me proposer ce contrat. Mes parents et moi avons été terrassés par ce revirement sans raison valable.


    Vous comprendrez de ce fait que je m’inscrive en faux contre les allégations pleureuses et mensongères d’une « chanteuse » au talent plus que douteux (la suite l’a confirmé). Douchka se positionne en victime (car cela fait vendre) mais elle a pris une place qui ne lui revenait pas et qu’elle n’a pas méritée. Sa descente aux enfers et sa déchéance artistique, dont son « livre » est le triste et navrant récit, montrent qu’elle n’a même pas su profiter, par ses mauvais choix et mauvaises décisions, de la chance insolente qu’elle a eue. Je n’ai pas l’intention de laisser passer cette offense supplémentaire et j’aimerais que l’on puisse m’entendre, à mon tour, de façon contradictoire, comme témoin « privilégié ».
    Françoise Gabrielle GAUME/gab57@free.fr

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  7. A DOUCHKA USURPATRICE

    LETTRE OUVERTE ET DROIT DE REPONSE À BOJIDARKA ESPOSITO DITE « DOUCHKA »

    Si DOUCHKA m’était contée… ce serait l’histoire d’une imposture honteuse.

    J’ai été purement et simplement évincée, sans explication, d’un contrat, signé voici 30 ans avec la Société DISQUES IBACH, pour une durée de 10 ans et portant sur des chansons pour enfants, la Walt Disney Cie ayant donné son approbation.

    Il se trouve que mon producteur, Mémé Ibach, était le « beau-père » de Douchka, compagnon de longue date de sa mère. Les pressions alors exercées par la mère de Douchka auprès de son amant pour mettre sa fille à ma place ont eu raison de mon contrat -Douchka a fini par prendre ma place- et de toute ma vie artistique, brisée en éclats alors qu’elle s’annonçait brillante.

    La parution, en Avril 2011 du « livre » de Douchka, qui me cite nominalement et sans autorisation, a ravivé la douleur dont j’ai mis des décennies à me débarrasser. Outre que cet ouvrage est truffé d’inexactitudes, pour ne pas dire plus, il me semble que les plaintes, doléances et les malheurs de cette pauvre dame, une « usurpatrice » caractérisée, ne sont que la conséquence d’une suite ininterrompue d’erreurs et d’échecs de sa part.

    Cette manipulation honteuse m’a causé un préjudice moral irréparable, j’avais à peine 16 ans. Ma vie artistique commençait ainsi par une blessure inguérissable : déception, désillusion, amertume, sentiment de trahison, c’est lourd pour la jeune fille que j’étais, pleine de rêves et d’espoirs dans ce contrat. C’est Mémé Ibach qui est venu me chercher à Lyon pour me proposer ce contrat. Mes parents et moi avons été terrassés par ce revirement sans raison valable.


    Vous comprendrez de ce fait que je m’inscrive en faux contre les allégations pleureuses et mensongères d’une « chanteuse » au talent plus que douteux (la suite l’a confirmé). Douchka se positionne en victime (car cela fait vendre) mais elle a pris une place qui ne lui revenait pas et qu’elle n’a pas méritée. Sa descente aux enfers et sa déchéance artistique, dont son « livre » est le triste et navrant récit, montrent qu’elle n’a même pas su profiter, par ses mauvais choix et mauvaises décisions, de la chance insolente qu’elle a eue. Je n’ai pas l’intention de laisser passer cette offense supplémentaire et j’aimerais que l’on puisse m’entendre, à mon tour, de façon contradictoire, comme témoin « privilégié ».
    Françoise Gabrielle GAUME/gab57@free.fr

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  8. LETTRE OUVERTE
    SUITE À LA PARUTION DU LIVRE DE DOUCHKA


    Il y a trente ans je me suis trouvée évincée sans explications d'un contrat sur 10 ans avec la Société DISQUES IBACH, sur le thème de disques pour enfants. La Walt Disney Cie m'avait également accordé sa confiance.
    Or il s'est trouvé que mon producteur, Mémé Ibach, était le « beau-père » de Douchka, compagnon de longue date de sa mère. Les pressions exercées par la mère de Douchka auprès de son compagnon pour caser sa fille, ont eu raison de mon contrat portant un coup sensible à ma carrière artistique.

    La parution du livre de Douchka, en Avril 2011, qui m'implique personnellement, a ravivé la mémoire de ces mauvaises façons dont l'effet négatif m'a longtemps porté préjudice. En outre cet ouvrage multiplie les inexactitudes, et le récit des malheurs dorés de Douchka sont une insulte à ceux beaucoup plus réels qu'elle aura « ingénument » infligés aux autres.

    Ces manipulations m’auront crée un préjudice moral beaucoup plus profond du fait de mon jeune âge (16 ans) et entraîné des dommages irréparables sur une jeune carrière que tout annonçait brillante. Ma vie artistique commençait ainsi par une blessure inguérissable.

    Que la déchéance actuelle de Douchka ne soit que la conséquence d'une place usurpée et d'un talent secondaire ne saurait suffire à compenser le tort qu'elle m'aura fait.
    Je tenais à rétablir une vérité qui me tenait à cœur.


    Françoise GAUME

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  9. Avant de commencer ce livre,je ne savais absolument rien de Douchka, peut-être ai-je entendu une de ses chansons pendant mon enfance mais c'est tout.
    Dans ce livre,elle retrace son parcours mais évoque également son enfance et nous présente ses parents. Tout deux faisaient partie du milieu artistique. Sa mère est en effet l'actrice Pascale Petit et son père le poète et chanteur Giani Esposito. Autant dire que son enfance fut particulière.

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